A partir de maintenant, il peut être utile d'acquérir certains réflexes étrangers au monde la HiFi : On n'exprime pas les niveaux en mV, mais en dB : on atténue : gain négatif , ou on amplifie : gain positif. En tension, doubler le niveau = +6dB (pas en puissance ! c'est 3dB). Une amplification de 10x = 20dB , de 100 fois = 40dB, de 1000 fois = 60dB (20+40 dB = 10x100) et inversement quand on "shunte", on atténue, voulais-je dire ... Autre chose : une ligne est toujours chargée, jamais laissée "en l'air"!

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La question des Vu mètres reste actuellement encore, en analogique, sans réponse définitive : Crête ou moyenne intégrée ? On utilise en réalité le plus souvent les deux types d'indicateurs, le peakmeter et le Vu à 40mS de temps d'intégration balistique ... En AM il ne fallait pas "crever" la porteuse (et il ne faut toujours pas d'ailleurs !), c'est à dire moduler au delà de 100%, seuil de génération de distorsions par l'EMETTEUR ... En FM c'est moins critique.

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On notera une fois de plus que le premier étage conditionne la performance en niveau de recul de bruit de l'ensemble de la chaine d'amplification.
Les charges des noeuds de groupes (200 et 535 ohms) vont en réalité être adaptées au nombre effectif de voies afin de maintenir les caractéristiques de gain unitaire : A défaut, chaque voie se trouverait atténuée de manière croissante par les autres qui lui sont mises en parallèle ... c'est l'une des contraintes qui a fait abandonner les sommateurs passifs "à résistances" dans les consoles à + de 8 voies. On comprend également que si le gain de la voie est énorme (60dB à vide), il sert en réalité à être atténué dans le shunt de 9,1kohms en sortie... Depuis lors, avec les AOP, la technique des sommateurs à impédance nulle s'est imposée, c'est une autre histoire.
Pour ceux que le sujet intéresse , le site
http://www.gearslutz.com est une mine d'infos.