Je crois que les électroniques étaient évaluées en compagnie de certaines enceintes en particulier. Les électroniques Quad devaient être évalué par l'intermédiaire des ESL, tout comme les électroniques Marantz devaient être évalué par des KLH 9. De la même manière, Altec a du effectué l'évaluation de ses électroniques sur des VOTT A7 et JBL a duKlemp a écrit :Je doute que les constructeurs de l' époque concevaient des électroniques adaptées au rendement de tel ou tel groupe de haut-parleur.... d' ailleurs pourquoi en serait-il ainsi ? ... quels seraient donc les paramètres qui permettraient cette adaptation...? .
Personnellement, je n' en vois pas![]()
S' ils avaient souhaité optimiser le résultat d' écoute pour du HR domestique ... ils auraient du logiquement se tourner vers de la monotriode...Commercialement en 1963 comme aujourd' hui, ce n' était pas pensable.
On peut simplement imaginer que chez JBL il y avait l' outil nécessaire et suffisant (haut-parleurs) pour extraire le maximum d' infos des électroniques et juger de la qualité globale. ... ce n' est pas le cas chez tous les constructeurs d' électroniques. Bien loin de là !
procéder de la même façon avec ses électroniques qu'ils évaluaient sur leurs enceintes. D'où la conception pour une électronique en particulier : les Energizer ont été spécialement conçu pour alimenter l'Olympus et le Paragon, et le SG-520 a été conçu pour alimenter les Energizer.
Dis-moi Jean, par rapport au Marantz Model 7, sur quel critère en particulier le SG-520 se démarque ? le rejoint ? est en retrait ?
De plus, est-ce que les transistors du SG-520 sont encore trouvables ?